1) Patrick notre guide,… et notre mère à tous en l’absence de Docteur Achille
2) Alain l’homme masqué ou Zorro
3) Alfred le spécialiste de la pédale, il en connaît un morceau.
4) Amédée le francique
5) Daniel le barbu (pas le dragueur de chasseresses) et le malchanceux du jour
6) Fabrice notre nouveau champion
7) Guillaume le vétéran qui ne tombe jamais
8) Guy soi disant spécialiste des rapports (heureusement que qu’il n’y a pas que le papier…)
9) Jacques le coureur à pied qui sait aussi rouler
10) Jean-Marc notre homme électrique qui maîtrise à merveille sa machine
11) Laurent médaille du plus éloigné et de la bonne humeur
12) Nicolas notre jeune qui a fait serre file bien malgré lui, il a encore beaucoup à apprendre de son papa
13) Pascal l’homme (au casque) intégral
14) Philippe le discret sauf lorsqu’il se lâche
15) Roland notre Figaro
Voilà pour les participants de ce matin. Cela change par rapport à dimanche dernier, vous avez bien lu : 15 participants, et aucune mauviette. Sans doute certains croyaient ils s’en tirer par une petite sortie sur le « sable chaud) du Warndt bien sec, que nenni, c’était sans compter sans notre mère Patrick. Ce dernier nous confessait avoir pendant ses insomnies de la nuit passée avoir concocté un circuit dont l’objet principal était la recherche de la neige. Il faut dire aussi que certains étaient encore dopés par la galette de la veille et que la sortie du lit s’est avérée plus facile que le dimanche précédent.
En fait pas de rigolade, à peine partis nous attaquons la montée verglacée derrière le lycée technique ; montée verglacée en plus encombrée de grosses pierres et de branches, très peu ont pu monter sans au moins une fois mettre pied à terre. Pour ma part j’ai craché mes poumons, j’ai presque cru que j’allais « crever » dur, dur, même avec un nouveau vélo super léger.
Et puis, franchissement de la voie rapide par le pont qui l’enjambe, et destination que tout le monde adore (devinez pourquoi ?) Dourd’hal et son air pur. Alors là descente d’équilibristes, paysage merveilleux, pas trop de dégâts.
Le malheur c’est qu’une fois à Dourd’hal il faut en ressortir, par le côté le plus dur bien sûr ; direction Laudrefang et re…montée
On continue direction les éoliennes et les casemates qui dominent Longeville. Là pause casse croûte et « vidange » sur la grande casemate. On repart sur un chemin sinueux très glissant, parfois montant, parfois descendant, le groupe s’effiloche un peu, mais à la traversée de la route de Bambi vers Bellevue, notre mère (poule) Patrick rassemble toutes ses ouailles, et nous voilà repartis pour l’ouvrage du Bambesch, un peu de bise pour ne pas oublier que nous sommes en hiver. Nous faisons la boucle complète du Bambesch, on se croirait dans un parc d’attraction. Que du bonheur.
Une fois la route de Zimming traversée, innovation, direction le monument au dessus de la maison de retraite de Longeville ; descente (en serrant les fesses) de la route très raide complètement enneigée. Et ensuite nous tentons d’engager un petit chemin sur la gauche, je dois avouer que la plupart, et j’en suis n’ont pas pu faire mieux que marcher un « morceau » à pied.
Daniel était sans doute un peu fatigué (même si ça ne se voyait pas) et il a cherché et trouvé la plus grosse épine de tout le coin. Avec ça il ne pouvait pas louper une crevaison, et en plus exprès de la roue arrière. Je fus compatissant mais pas possible de faire plus que de tenir ses outils et de l’encourager. Enfin il a réparé en deux temps trois mouvements, comme un vrai pro.
Nous arrivons maintenant à la montée Kleindahl, et là remontée, pour prendre un petit raidillon verglacé à droite et rejoindre le rûcher. Nos amis Roland et Alfred nous quittent direction Porcelette, et le reste du groupe se fait un grand plaisir de dévaler la pente vers Longeville. Patrick n’oublie pas de passer devant la grotte et nous faisons coucou à la vierge.
Quelle belle sortie, A dimanche la prochaine, et même pour les veinards, je crois, mercredi.
Guy le futur retraité (encore trois semaines)